La musique c’est cette chose magique qui nous fait taper du pied quand on l’entend, qui nous donne envie de chanter à tue-tête dans la douche, et qui nous fait parfois pleurer comme un bébé lorsqu’on l’écoute seul dans notre chambre. Si vous lisez cet article, il y a de fortes chances que vous ayez une passion pour la musique. Et pourtant, combien d’entre vous cachent cette passion par peur du jugement, de la moquerie ou simplement parce que vous pensez que vos goûts musicaux sont « trop différents » pour être partagés ?
Allez, soyons francs. Qui n’a jamais baissé le volume de sa musique en voyant arriver un collègue ou en s’apercevant que quelqu’un pourrait l’entendre ? Qui n’a jamais feint l’ignorance quand quelqu’un lui demande s’il connaît ce groupe de death metal finlandais super underground alors qu’en réalité, vous avez tous leurs albums et même le t-shirt ?
La vérité, c’est que nous avons tous des plaisirs coupables en matière de musique. Ces chansons que l’on écoute en boucle, même si on sait pertinemment qu’elles ne gagneront jamais un Grammy. Ces mélodies entêtantes qui nous font danser dans notre salon, même si on n’a clairement pas le rythme dans la peau. Et c’est beau, c’est humain, c’est ce qui fait de nous des êtres uniques et passionnés.
La musique, c’est personnel… mais c’est aussi universel.
C’est un paradoxe, n’est-ce pas ? La musique est une expérience profondément personnelle, et pourtant, elle a le pouvoir de rassembler les gens comme peu de choses peuvent le faire. Pensez aux festivals, aux concerts, aux soirées karaoké entre amis. Lorsque vous partagez votre passion, vous découvrez non seulement de nouvelles musiques, mais aussi de nouvelles personnes, de nouvelles cultures, de nouveaux points de vue.
Et pour ceux qui se disent : « Mais personne n’aimera ma musique ! », laissez-moi vous dire ceci : pour chaque personne qui déteste votre groupe préféré, il y en a dix qui l’adorent. Il suffit de chercher.
Les plaisirs coupables n’existent pas.
La notion de « plaisir coupable » suggère que certaines musiques sont réellement meilleures que d’autres. Mais qui décide ? Est-ce le comité secret des critiques musicales qui se réunit chaque année dans une grotte sombre pour déterminer ce qui est cool et ce qui ne l’est pas ? (Bon, j’ai inventé ce comité, mais avouez que ça sonne bien.)
La vérité, c’est que le plaisir est subjectif. Si vous aimez une chanson, alors elle est bonne. Point final. Si elle vous fait ressentir quelque chose, si elle évoque des souvenirs, si elle vous fait danser comme un fou… alors elle a de la valeur. Et personne n’a le droit de vous dire le contraire.
Partager, c’est aimer.
Lorsque vous partagez votre passion musicale, vous offrez à quelqu’un d’autre la chance de découvrir quelque chose de nouveau. Et peut-être que cette personne, en retour, partagera avec vous ses propres découvertes. C’est un échange, une conversation, une danse de découverte mutuelle. Et si au final, votre interlocuteur n’adhère pas à vos goûts, ce n’est pas grave. Au moins, vous aurez partagé un moment, une connexion.
Rire de soi-même, c’est sain.
Admettons-le, certaines de nos passions musicales peuvent paraître ridicules pour les autres. Peut-être que vous êtes un fan inconditionnel de yodel ou que vous ne pouvez pas résister à un bon vieux morceau de disco. Et alors ? Si quelqu’un se moque de vos goûts, riez avec lui. L’autodérision est une qualité admirable, et cela montre que vous êtes à l’aise avec qui vous êtes. Et puis, qui sait, peut-être qu’avec le temps, cette personne finira par admettre qu’elle aime aussi secrètement le yodel.
La diversité, c’est la vie.
Imaginez un monde où tout le monde écouterait la même musique. Ce serait ennuyeux, non ? La beauté de la musique réside dans sa diversité, dans sa capacité à évoluer, à fusionner, à innover. En cachant votre passion, vous privez le monde d’une couleur, d’une nuance, d’une voix.
En conclusion, ne cachez pas votre passion musicale. Embrassez-la, célèbrez-la, partagez-la. La vie est trop courte pour se priver des petites joies, des moments de bonheur, des rires partagés autour d’une mélodie. Et la prochaine fois que quelqu’un vous demande si vous connaissez ce groupe de death metal finlandais super underground, dites fièrement : « Bien sûr, et j’ai même le t-shirt ! ». Après tout, qui sait, peut-être que cette personne porte le même en dessous de son pull.
Si vous avez aimé cet article, vous pouvez le partager à vos contacts et amis sur les réseaux sociaux, ou tout au moins un , cela serait apprécié, Merci !
SVP, suivez-nous sur Linkedin:
Et sur X, anciennement Twitter:
Follow @MP_mesplaisirs
Ne loupez aucun article en vous abonnant à Mes Plaisirs sur Google New