En ces jours où le soleil semble jouer à cache-cache derrière les nuages, de nombreuses personnes ressentent le besoin de s’éclairer autrement. Que vous soyez du type « réveil-matin en panne » ou simplement en manque de vitamine D, la luminothérapie pourrait bien être votre nouvel allié. Dans cet article, nous allons explorer ce phénomène lumineux, avec, comme promis, une petite touche d’humour pour éclairer votre lecture.
La luminothérapie, quèsaco ?
Avant de rentrer dans le vif du sujet, faisons un peu de lumière sur le terme même. La luminothérapie, du latin « luminosus » qui signifie « lumineux » (et non pas « allumer la lumière parce que j’ai oublié où j’ai mis mes chaussettes »), est une méthode qui utilise la lumière pour traiter divers troubles, notamment ceux liés au dérèglement de l’horloge interne.
Le S.A.D., un acronyme ironiquement triste
Parlons de ce fameux trouble affectif saisonnier (S.A.D. pour Seasonal Affective Disorder en anglais, parce que la langue de Shakespeare adore faire des blagues). Il s’agit d’une forme de dépression qui se manifeste principalement en hiver. Et non, ce n’est pas simplement cette petite tristesse qui survient quand on réalise que le soleil a pris des vacances sans nous inviter.
Ce trouble est principalement causé par le manque de lumière. Imaginez : en hiver, le soleil se lève tard, nous laissant tâtonner en cherchant nos pantoufles, et se couche tôt, comme s’il avait une série à binge-watcher.
Comment la lumière nous affecte-t-elle ?
Eh bien, notre corps est comme une horloge (mais sans le tic-tac agaçant). Cette horloge interne, ou rythme circadien, régule de nombreux aspects de notre physiologie, notamment le sommeil, l’humeur, l’appétit, etc. Lorsqu’elle est déréglée, tout notre système peut en pâtir.
La lumière joue un rôle essentiel dans la régulation de cette horloge. Elle influence la production de certaines hormones, dont la mélatonine, surnommée « l’hormone du sommeil ». Et oui, la lumière peut littéralement nous éveiller (et non pas seulement quand on oublie de fermer les rideaux un dimanche matin).
Les bienfaits de la luminothérapie
Grâce à la luminothérapie, on peut tromper cette horloge interne un peu paresseuse en hiver. En s’exposant à une lumière artificielle (pas celle de votre lampe de chevet, mais une lumière spéciale), on stimule la production de sérotonine, souvent appelée « l’hormone du bonheur ». Qui aurait cru que le bonheur pouvait se trouver dans une lampe ?
Les séances de luminothérapie consistent généralement à s’exposer à cette lumière pendant une trentaine de minutes par jour. Imaginez ça comme un mini-séjour à la plage, sans le sable qui s’infiltre partout.
Effets secondaires ?
Comme pour tout, il y a quelques précautions à prendre. Ne vous précipitez pas sur la première lampe venue en espérant transformer votre salon en St-Tropez. Les lampes de luminothérapie sont spécialement conçues pour reproduire la lumière du jour sans les UV. Et bien sûr, si vous avez des problèmes de vue, consultez un ophtalmologiste avant de vous lancer.
Y a-t-il une alternative ?
Si l’idée d’acheter une lampe ne vous séduit pas, ou que vous voulez simplement mettre toutes les chances de votre côté, pensez à sortir. Oui, même s’il fait gris. La lumière naturelle, même par temps couvert, reste bénéfique. Et en plus, cela vous donnera l’occasion de montrer votre nouveau manteau.
Conclusion
La luminothérapie est une solution intéressante pour ceux qui ressentent une baisse de moral en hiver. Elle rappelle à notre horloge interne qu’il est temps de se réveiller et d’être heureux. Et après tout, qui n’aimerait pas avoir un peu de soleil supplémentaire dans sa vie ? Surtout si cela signifie éviter de trébucher sur le chat en cherchant ses chaussettes le matin.
Alors, la prochaine fois que vous ressentirez une petite baisse de régime, n’hésitez pas à faire entrer la lumière dans votre vie. Même si ce n’est que pour retrouver ces satanées chaussettes.
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