Choisir son premier instrument de musique : une aventure épique parsemée de rire

Choisir son premier instrument de musique : une aventure épique parsemée de rire

Il y a des moments dans la vie où l’on se dit : «Pourquoi pas ?». Choisir son premier instrument de musique a été l’un de ces moments pour moi. Une aventure épique, une quête à la recherche du son parfait. Laissez-moi vous emmener dans le monde trépidant de la décision musicale la plus importante de ma vie.

Chapitre 1 : L’appel de la musique

Tout a commencé un jour de printemps ensoleillé. J’étais assis à la terrasse d’un café, profitant de mon café matinal, lorsque soudain, un doux mélange de notes musicales flottait dans l’air. C’était comme si la musique elle-même m’appelait, me susurrant à l’oreille : «Viens, rejoins-nous, deviens musicien !»

J’ai toujours été attiré par la musique, mais je n’avais jamais vraiment pris le temps de m’y plonger sérieusement. C’était le moment. L’idée de jouer d’un instrument de musique m’a envahi et m’a fait sourire. C’était la première étape d’une aventure qui s’annonçait épique.

Chapitre 2 : Le dilemme du choix

Une fois que l’idée de devenir musicien m’a traversé l’esprit, il a fallu faire un choix crucial : quel instrument choisir ? Cette décision s’est avérée plus difficile que prévue. Après tout, il y a tant d’options, et chacune a son charme.

J’ai commencé à faire des recherches, à regarder des vidéos en ligne et à poser des questions à des amis musiciens. Le piano avait l’air si majestueux, la guitare si cool, le violon si élégant, et la batterie si énergique. J’étais submergé par les possibilités.

Chapitre 3 : Les rencontres musicales

Pour m’aider à prendre une décision, j’ai décidé de rencontrer des musiciens locaux et de leur poser des questions sur leur instrument. J’ai rencontré un pianiste qui m’a parlé de la beauté de jouer des pièces classiques, un guitariste rock qui m’a raconté les heures passées à déchiffrer des solos, un violoniste qui m’a évoqué la magie de la musique classique, et enfin, un batteur qui m’a fait vibrer au rythme de ses anecdotes endiablées.

À chaque rencontre, je me disais : «C’est celui-là !», mais ma décision changeait à chaque nouvelle conversation. J’étais comme un enfant dans un magasin de bonbons, incapable de choisir entre les saveurs.

Chapitre 4 : Le test de compétence

Finalement, j’ai décidé de mettre un peu d’ordre dans tout ça. J’ai décidé de faire un test de compétence pour voir quel instrument me conviendrait le mieux. J’ai commencé par le piano, puisque j’avais accès à un vieux clavier électrique dans le sous-sol de ma grand-mère.

J’ai passé des heures à essayer de jouer «Twinkle, Twinkle, Little Star», mais le résultat était plus proche d’une cacophonie que d’une mélodie. J’ai réalisé que mes doigts étaient plus lourds que des enclume, et que les touches noires et blanches semblaient se moquer de moi. Le piano n’était peut-être pas mon premier amour.

J’ai ensuite essayé la guitare. Mon ami guitariste m’a prêté sa vieille guitare acoustique, et j’ai regardé des tutoriels en ligne pour apprendre les bases. Après quelques jours de pratique, mes doigts étaient couverts de cloches, et je me suis rendu compte que ma coordination main-guitare n’était pas aussi fluide que je l’aurais espéré. La guitare avait un certain charme, mais ce n’était peut-être pas non plus le choix idéal pour moi.

Le violon était la prochaine étape de mon périple musical. J’ai loué un violon et trouvé un professeur pour m’apprendre les bases. C’était une expérience qui a été frustrante. Le violon est un instrument capricieux, et produire ne serait-ce qu’un son agréable nécessitait une précision millimétrique de l’archet. Mes premiers «concerts» ont plus ressemblé à une symphonie de cris de chat que de la musique. Le violon était définitivement un défi de taille.

Enfin, j’ai essayé la batterie. Un ami batteur m’a emporté dans son studio, m’a montré quelques rudiments et m’a laissé m’éclater sur les fûts. C’était intense. Les baguettes volaient, les cymbales se brisaient, et les voisins se plaignaient du vacarme. La batterie était comme une libération, une manière de laisser sortir toute mon énergie, mais je n’étais pas sûr de pouvoir garder cela dans mon appartement sans être expulsé.

Chapitre 5 : La grande révélation

Après avoir testé tous ces instruments, j’ai fini par me sentir un peu découragé. Étais-je condamné à être un auditeur passif de musique pour le reste de ma vie ? C’est alors qu’une idée lumineuse a jailli dans mon esprit. Pourquoi choisir un seul instrument quand je peux en jouer à plusieurs ? Je pouvais être un musicien polyvalent, un «one-man band» ! C’était la solution à tous mes problèmes.

J’ai donc commencé à accumuler une collection d’instruments de musique. J’ai acheté un petit clavier électronique, une guitare d’occasion, un violon bon marché, et une batterie électronique pour ne pas faire exploser les tympans de mes voisins. J’étais prêt à devenir le maestro de mon propre orchestre miniature.

Chapitre 6 : La formation

Avec mon arsenal musical en main, il était temps de commencer ma formation. J’ai cherché des cours en ligne, acheté des méthodes d’apprentissage et visionné des vidéos pédagogiques. J’étais déterminé à maîtriser chaque instrument.

Le clavier électronique était le plus facile à apprendre, grâce aux touches bien rangées et aux leçons structurées. J’ai rapidement joué des mélodies simples et j’ai commencé à me sentir comme Beethoven (ou du moins, comme son lointain cousin éloigné).

La guitare, quant à elle, était un peu plus difficile. Les accords et les positions des doigts étaient un vrai casse-tête, mais j’ai persévéré. J’ai passé des heures à jouer les mêmes accords encore et encore, jusqu’à ce que mes doigts se transforment en acrobates agiles.

Le violon était une toute autre histoire. Chaque séance de pratique présente à une lutte acharnée entre moi et l’instrument. J’ai cassé des cordes, mon archet était devenu une arme de destruction massive de colophanes, et mes oreilles saignaient à chaque fausse note. Mais je m’accrochais, déterminé à dompter cette bête musicale.

La batterie électronique était une explosion de rythmes et de beats. J’ai commencé par les rythmes de base, puis j’ai progressé vers des grooves plus complexes. C’était épuisant, mais également gratifiant. Mes voisins apprécieront même la version silencieuse de la batterie électronique.

Chapitre 7 : Le spectacle privé

Après des mois d’entraînement intensif, j’ai décidé qu’il était temps de faire mes débuts en tant que musicien. J’ai invité quelques amis chez moi pour un petit concert privé. J’ai disposé mes instruments dans le salon, comme un musée de la musique miniature.

Le soir du spectacle, j’étais à la fois excité et terrifié. J’ai commencé par jouer quelques morceaux au clavier, en imposant de canaliser mon Beethoven intérieur. Mes amis ont été impressionnés, mais j’ai vite réalisé que jouer de la guitare en solo était un tout autre défi. Mes doigts se sont emmêlés dans les cordes, et j’ai oublié les paroles de la chanson que je chantais. C’était un désastre musical, mais au moins, tout le monde riait.

Ensuite, j’ai sorti le violon. Je savais que c’était un pari risqué, mais je voulais montrer à quel point j’avais progressé. J’ai joué une mélodie classique, mais mes voisins ont dû croire que j’étais en train de torturer un chat dans mon salon. Les grimaces et les rires ont continué, mais j’ai gardé le sourire et j’ai terminé ma performance avec un solo de batterie électronique qui a secoué les murs.

Le concert s’est terminé par des applaudissements et des encouragements bienveillants de la part de mes amis. Ils ont peut-être ri de mes ratés, mais ils ont aussi vu à quel point j’étais déterminé à poursuivre ma passion pour la musique.

Chapitre 8 : Le voyage continue

Depuis ce premier concert mémorable, mon aventure musicale n’a fait que s’intensifier. J’ai continué à pratiquer et à améliorer mes compétences sur chaque instrument. J’ai même commencé à composer mes propres morceaux, mélangeant les sons du clavier, de la guitare, du violon et de la batterie électronique pour créer quelque chose d’unique.

Bien sûr, il y a eu des moments de frustration et de doute. Parfois, je me suis demandé si j’étais devenu fou en tentant de jouer tous ces instruments à la fois. Mais chaque fois que je montais sur scène (ou plutôt dans mon salon), je retrouvais cette joie et cette excitation qui m’avaient poussé à choisir la musique comme aventure.

Chapitre 9 : La leçon apprise

Choisir mon premier instrument de musique a été une aventure épique, parsemée d’humour et de moments mémorables. J’ai découvert que la musique est bien plus qu’un simple divertissement ; elle est une forme d’expression, une façon de communiquer avec le monde, et une source de joie inestimable.

J’ai également appris que la musique peut être une expérience personnelle et unique. Chacun de nous a son propre rythme, son propre style, et son propre chemin musical à suivre. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise réponse lorsque l’on choisit un instrument de musique, tant que l’on est prêt à se plonger dans l’aventure avec passion et détermination.

Alors, si vous avez déjà rêvé de devenir musicien, je vous encourage à suivre votre propre chemin musical. Peu importe l’instrument que vous choisissez, l’important est de vous amuser et de partager votre musique avec le monde. Et qui sait, peut-être que votre aventure sera aussi épique, drôle et mémorable que la mienne.

Chapitre 10 : La conclusion musicale

Ainsi se termine mon récit sur l’aventure incroyable de choisir mon premier instrument de musique. C’était une quête parsemée d’humour, de défis et de moments magiques. J’espère que vous avez ri, été inspiré, ou peut-être même un peu ému par cette histoire.

La musique a le pouvoir de nous transformer, de nous connecter les uns aux autres, et de nous rappeler que la vie est une aventure à savourer pleinement. Alors, que votre instrument soit une guitare, un piano, un violon, une batterie, ou même une simple flûte à bec, jouez avec passion et laissez la musique vous emporter dans une aventure unique et inoubliable.

Et n’oubliez pas, la musique est le langage de l’âme, alors faites vibrer votre âme au rythme de la mélodie de la vie. Peu importe où votre aventure musicale vous mène, que ce soit sur une scène devant des milliers de personnes ou simplement dans le confort de votre propre salon, faites résonner votre musique et partagez-la avec le monde. La musique est une aventure sans fin, et je vous souhaite le voyage le plus extraordinaire de tous.

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